Donna Bella et le vieil homme

Au premier plan du roman dont on fait la critique ci-dessous (pris d’un fait réel), il s’agit de l’histoire d’un couple inégal :
Un vieil homme alerte, plein de dynamisme et de vivacité spirituelle intacte et une jeune fille du Kosovo. Le lecteur se trouve directement confronté à la problématique, dans quelle mesure un vieil homme pourrait-t-il traquer ses désirs et ses besoins érotiques. Et si vraiment une personne plus jeune, malgré toute passion,  pourrait spontanément obéir à ses sentiments et à ses penchants ?

Mais ici, on ne parle pas seulement de la situation exceptionnelle de ce couple. Dans son journal intime dans lequel le « vieil homme » décrit sa vie pleine de rencontres mouvementées, des cas limites sont évoqués qui ne font pas insérer progressivement dans l’image de la morale de notre civilisation occidentale. C’est surtout notre société qui affronte chaque comportement qui n’est pas complètement conforme à un moule de pensées et de préjugés au moindre soupçon d’une moindre approche à des manières de comportement que Freud avait décrites sous le terme générique « perversions ». Qu’elles soient des constellations polaires comme le sadisme-masochisme, voyeurisme-exhibisionisme, grontophilie-pédophilie ou d’autres anormalités (« anormal » parce qu’elles ne correspondent pas à la moyenne statistique), comme par exemple l’homosexualité ou la bisexualité, les tendances incestueuses, la sodomie et beaucoup plus que cela du monde de l’imagination érotique.

Ces préjugés résultant de termes juridiques désuets de la civilisation occidentale ne sont-ils pas depuis longtemps caducs ? L’auteur se réfère à ses longues expériences personnelles concernant les mœurs et les coutumes aux pays de l’extrême orient qui se sont épargnés beaucoup de problèmes psychopathologiques, juridiques et sociaux et ceci grâce à leur plus grande tolérance et à leur sensibilité à la sexualité et à l’érotisme auxquels l’occident impuissant s’est manifestement exposé. Donc, des problèmes sociaux qui, en les observant lucidement, se sont révélés comme cas limites pleins de force et d’intuition créatives, comment la vie même les produit-elle même avec toutes ses nuances.
Il suffit de jeter un coup d’oeil dans la biographie d’excellents artistes ou de grandes personnalités pour reconnaître la dynamique de ces forces dans leur créativité.

En tant que médecin et auteur de ce roman de journal intime « Donna Bella et le vieil homme », j’aimerais entrer en dialogue avec les personnes qui s’intéressent au complexe abordé concernant les situation limites psychologiques, les préjugés et les normes de comportement d’autres cultures  et ceci sous mon adresse e-mail :

ariel@aretino.de
Ou bien par l’intermédiaire du questionnaire ci-dessous.

Concernant le roman :

 
Une connaissance de faits fortuits devient une liaison amoureuse pleine de passion avec une femme très jeune, qui confie au vieil homme son journal intime avec tous ses tourbillons de leur chemin commun.
A partir de sa sensualité universelle positive marquée par sa vision humaine, l’auteur fait son observation par des réflexions ironiques des structures sclérosées d’une société raidie dans des conventions et provoque avec la ronde de sa propre vie effrénée les idées de morale de l’esprit bourgeois.
 
paraîtra très prochainement en langue française

Du même auteur chez l’éditeur Libri est apparu L’histoire de Noë
sous le ISBN 3-89811-765-0